Date : 20/07/2023
Devant les nombreuses sollicitations de victimes et de familles de victimes (en cas de décès) en lien avec la vaccination contre le Covid-19, l’A.A.V.A.C. a mis en place une équipe spécifique de médecins et de juristes.
Depuis plusieurs mois, l’A.A.V.A.C. conseille et aide ces victimes depuis la constitution de leur dossier jusqu’à l’indemnisation de tous leurs préjudices en lien direct avec le vaccin contre le Covid 19.
Les vaccins les plus souvent mis en cause sont tout d’abord le vaccin PFIZER, puis le vaccin MODERNA, le vaccin ASTRAZENECA et le vaccin JANSSEN.
Les pathologies rencontrées le plus fréquemment sont les péricardites et les myocardites (inflammation du cœur), puis les troubles neurologiques, les AVC/thromboses/embolies pulmonaires, suivies par les troubles articulaires, les troubles auditifs et les troubles dermatologiques.
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Date : 01/06/2023
Après une baisse régulière entre 2001 et 2012, une stagnation entre 2012 et 2017, le nombre des infections nosocomiales a progressé entre 2017 et 2022.
Santé Publique France note une augmentation des infections nosocomiales de 14,7% pendant cette dernière période.
Par rapport aux autre pays européens, la France se situe dans la moyenne avec une 17ème place sur 31 pays, en 2017.
L’épidémie de Covid 19 explique, en partie cette élévation du nombre des infections nosocomiales, car, en effet, les infections nosocomiales au Covid 19 représentent la moitié de l’augmentation constatée.
Les autorités sanitaires estiment à environ 4 200 le nombre de décès liés à des infections nosocomiales chaque année en France.
Ce chiffre nous semble sous-évalué de façon importante et la réalité devrait se situer au double environ.
Les infections nosocomiales sont les plus fréquentes dans les services de réanimation (un patient sur quatre est infecté) car les patients sont plus vulnérables et exposés à des dispositifs invasifs (assistance respiratoire, cathéter, sonde urinaire).
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Date : 22/03/2021
Le Covid-19 est le principal responsable d’infections nosocomiales en France.
Des patients sont morts après avoir contracté le Covid-19 au cours de leur hospitalisation.
Admis avec un test Covid négatif, ils décèdent après avoir été contaminés pendant leur séjour à l’hôpital (infection dite nosocomiale).
D’autres vont présenter des Covid dits « longs » et vont garder de graves séquelles.
Santé Publique France a recensé 44 401 cas de Covid-19 nosocomiaux entre janvier 2020 et le 14 février 2021.
26 839 cas étaient des patients, 17 552 des professionnels de santé et 10 des visiteurs.
Ainsi, le Covid-19 est devenu la première maladie nosocomiale en France, loin devant toutes les autres infections contractées dans un établissement de santé.
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Contacté par de nombreuses victimes présentant des séquelles graves et des familles de patients décédés, l’A.A.V.A.C. a décidé de les aider à constituer leur dossier médical pour faire reconnaître le caractère nosocomial de la maladie, et de les assister dans les démarches pour obtenir une juste indemnisation de tous leurs préjudices et ceux de leurs familles.
Date : 14/04/2020
Notre association a adapté l'organisation de ses équipes pour garantir la continuité de ses activités.
Nous restons entièrement disponibles pour aider les victimes dans toutes leurs démarches pour faire reconnaître leur statut, défendre leurs droits et obtenir l’indemnisation de tous leurs préjudices.
Vous pouvez continuer à nous contacter par téléphone du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h, par courrier et par e-mail.
Prenez soin de vous et de vos proches.
Date : 07/11/2018
Vous êtes victime d'un accident corporel et vous souhaitez témoigner ?
Contactez-nous pour participer à l'émission "Ca peut vous arriver" sur RTL
Médecin Expert de l’émission RTL « Ça peut vous arriver » de Julien COURBET, le Docteur COURTOIS vient en aide à toutes les victimes d’accidents corporels qui rencontrent des difficultés dans leurs différentes démarches.
Si vous êtes victimes d’un dommage corporel en lien avec des professionnels de la santé, de l’esthétique ? Vous rencontrez des problèmes avec des compagnies d’assurances ou de tous organismes d’indemnisation, n’hésitez-pas à nous soumettre votre cas.
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Date : 20/06/2018
Les infections nosocomiales touchent, chaque année, entre 700 000 et un million de personnes en France.
On estime que 20 à 30% seraient évitables.
C’est la conclusion qui ressort d’une étude menée dans six services d’accueil des urgences en France, cinq de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris ( AP-HP : Avicenne, Lariboisière, Hôpital Européen Georges Pompidou, Saint Antoine et Tenon ) et celui du C.H.U. de Grenoble.
Cette étude, dirigée par le Docteur Yonathan FREUND, des urgences de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris vient d’être publiée dans la revue américaine JAMA Internal Medicine.
Les médecins se sont réunis, deux par deux, trois fois par jour, pendant une dizaine de minutes, pour vérifier les dossiers des malades.
Chacun décrivait les dossiers des malades ( entre cinq et dix dossiers en moyenne ) dont il avait la charge.
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Date : 25/04/2018
Une étude montre que 40% des erreurs médicales sont évitables grâce à une simple concertation des avis des médecins urgentistes.
C’est la conclusion qui ressort d’une étude menée dans six services d’accueil des urgences en France, cinq de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris ( AP-HP : Avicenne, Lariboisière, Hôpital Européen Georges Pompidou, Saint Antoine et Tenon ) et celui du C.H.U. de Grenoble.
Cette étude, dirigée par le Docteur Yonathan FREUND, des urgences de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris vient d’être publiée dans la revue américaine JAMA Internal Medicine.
Les médecins se sont réunis, deux par deux, trois fois par jour, pendant une dizaine de minutes, pour vérifier les dossiers des malades.
Chacun décrivait les dossiers des malades ( entre cinq et dix dossiers en moyenne ) dont il avait la charge.
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Date : 13/09/2017
Trois jours après son admission à la Clinique Saint-Hilaire d’Agen, pour une angine, ce militaire est décédé après son transfert, en urgence, de la clinique à l’hôpital Saint Esprit, alors qu’il se trouvait, déjà, dans un état critique.
Le Service Régional de la Police Judiciaire (SRPJ) de Toulouse est chargé de l’enquête devant cette mort suspecte et devra déterminer les causes réelles du décès et les éventuelles responsabilités de la clinique.
Pour le Docteur Dominique Michel COURTOIS, une hypothèse pourrait être la présence d’une angine à streptocoque bêta-hémolytique du groupe B qui peut entrainer des complications locales, liées à la diffusion de l’infection et généralement due à une réaction inflammatoire de l’organisme.
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Date : 18/03/2016
Les accidents médicaux sont responsables de 30 000 à 40 000 décès par an, c’est-à-dire dix fois plus que les accidents de la route. Qu’il s’agisse de fautes médicales, d’infections nosocomiales ou de complications liées à la prise de médicaments.
Personne ne semble s’en émouvoir.
Pourtant, la maladie est déjà en soi une épreuve. Alors que dire quand s’y ajoute la tragédie de l’erreur médicale ?
Être malade de la médecine est la pire des choses. C’est le désespoir dans l’espoir.
Notre médecine n’est plus la meilleure du monde. Nous assistons à un véritable suicide de la médecine française. Les causes en sont multiples : la toute puissance de l’industrie pharmaceutique, la faillite totale des organismes de contrôle, une mauvaise gestion gouvernementale de la santé, des médecins irresponsables, des patients indisciplinés ...
Ne l’oubliez-pas, chacun d’entre nous risque d’être confronté à un dommage corporel au cours de sa vie, vous n’êtes que patient aujourd’hui, vous pourrez être victime demain.
Pour le Docteur Dominique Michel Courtois et Maître Philippe Courtois, il est grand temps de tirer la sonnette d’alarme, de démasquer les coupables et de conseiller et d'aider les victimes.
En ma qualité de médecin et de chirurgien maxillo-facial j’ai pu connaître le monde médical de l’intérieur et constater l’omerta qui règne dans le domaine de l’erreur médicale (négation de la faute même avérée, modification des dossiers, pression sur les victimes, sur le personnel médical…).
Dans le monde opposé, comme président de l’A.A.V.A.C. depuis 1990, j’ai conseillé et assisté des milliers de victimes dans leurs démarches pour la reconnaissance de la faute et l’indemnisation de tous leurs préjudices.
Notre livre, ne se veut pas un procès contre les médecins mais un véritable guide pour permettre à chacun d’entre vous, consommateurs obligés d’actes médicaux en tout genre et victimes en puissance, de pouvoir se défendre, à armes égales, contre le corps médical, les organismes de santé, les laboratoires pharmaceutiques, les assurances.
Date : 18/09/2014
Un patient hospitalisé sur dix est victime d'un événement indésirable grave (EIG).
Erreur de diagnostic, surdosage de médicament, organe opéré à la place d'un autre ... Les erreurs médicales peuvent entrainer des séquelles plus ou moins graves. Vers qui faut-il se tourner lorsqu'on a subi un préjudice ?.
Le Dr COURTOIS, Président de l'A.A.V.A.C. donne des conseils pour toutes les personnes qui s'estiment victime d'une erreur médicale.
Il est impératif de demander l'intégralité de ...
Date : 17/04/2014
Le président et fondateur du groupe pharmaceutique est décédé ce mercredi 16 avril 2014 à l'âge de 92 ans.
Nous ne pouvons nous réjouir de la disparition d'une personne même si nous étions en total désaccord avec elle.
Les sentiments de colère, de frustration, voir de désarroi de la plupart des victimes du Mediator, sont compréhensibles et légitimes.
Jacques SERVIER ne pourra se présenter aux différentes procédures juridiques mais les nouveaux dirigeants des Laboratoires SERVIER et les autres organismes mis en cause le seront. Ils devront rendre des comptes de leurs actes à la justice et aux victimes du médicament.
La mort du Président des Laboratoires SERVIER ne marque pas la fin du combat !
Les Victimes du Mediator auront l'occasion de s'exprimer et obtenir gain de cause dans les procès à venir.
Date : 10/02/2014
Tous les soirs, sur la chaine TMC (chaine N°10 de la TNT) le Dr D.M. COURTOIS intervient pour aider les victimes d’erreurs médicales, de vaccinations, de médicaments mais aussi d’accidents de la route et d’accidents de la vie.
Chaque soir, de 18 heures 35 à 20 heures, Julien COURBET, assisté du Dr D.M. COURTOIS vient en aide aux victimes de dommages corporels qui rencontrent des difficultés avec les chirurgiens, les hôpitaux, les compagnies d’assurances pour obtenir une juste indemnisation de leurs préjudices.
Date : 10/02/2014
Julien Courbet et son équipe vous propose un prime time exceptionnel de la nouvelle formule de l'emblématique émission Sans Aucun Doute, mercredi 12 février à 20H45 sur TMC !
Retrouvez le Dr D.M. COURTOIS qui interviendra pour aider les victimes d’erreurs médicales, de vaccinations, de médicaments mais aussi d’accidents de la route et d’accidents de la vie.
Date : 04/09/2013
Nouvelle émission "Sans Aucun Doute" de Julien COURBET
L'animateur Julien Courbet reprend du service avec une nouvelle formule de l'emblématique émission Sans Aucun Doute, du lundi au vendredi à partir du 16 Septembre à 18H40 sur TMC !
Vous avez voulu faire une petite intervention pour vous sentir mieux mais le résultat n'est pas à la hauteur ?
Des séances de laser qui ont mal tourné (brûlures ou décoloration de la peau), peeling ou botox qui s'est mal passé, ... Bref toutes ces petites interventions de chirurgie "sans risques" peuvent laisser des séquelles.
Pour la nouvelle émission "Sans Aucun Doute" de Julien COURBET sur TMC, nous recherchons des victimes de chirurgie esthétique (peeling, botox, laser...). Vous pouvez nous adresser un mail expliquant les complications dont vous êtes victimes.
Confiez-nous votre témoignage.
Date : 04/02/2013
L’AAVAC fondée en 1990, est toujours aussi présent et efficace aux côtés des victimes.
Pour son Président, le Docteur Dominique Michel COURTOIS, l’association joue pleinement son rôle dans la défense des victimes dans les scandales sanitaires actuels.
Outre la défense des victimes du Mediator (mise en place d’un Fonds d’Indemnisation), des victimes des prothèses mammaires PIP (action en justice au Pôle de Santé Publique de Marseille) l’AAVAC est maintenant aux côtés des victimes des pilules de 3ème et 4ème génération et de la pilule Diane 35.
Le Dr D.M. COURTOIS n’hésite pas à dénoncer le dysfonctionnement des organismes de contrôles (AFSSAPS) l’attitude scandaleuse et mercantile de certains laboratoires et aussi, malheureusement, la négligence de certains médecins.
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Date : 01/02/2013
[VIDEO] Le docteur Courtois, président de l'association d'aide aux victimes d'erreurs médicales, estime qu'un scandale sanitaire se profile avec les pilules contraceptives.
Président de l’Association d’aide aux victimes d’erreurs médicales, le docteur Courtois a répondu aux questions des rédactions de Sud Ouest et de la chaîne girondine TV7 pour le Zoom.
L’association dont il s’occupe depuis 1990 traite chaque année 8000 dossiers. Rien que pour le médiator, elle a pris en charge 5000 personnes. Elle suit maintenant plusieurs victimes des effets des pilules contraceptives.
Le docteur Courtois suggère au gouvernement d’agir plus fermement. Et aux femmes concernées de cesser, dans le doute, « de prendre les pilules de troisième et quatrième générations, ou d’aller voir son médecin prescripteur pour s’assurer qu’il n’existe pas de risques ». « Je ne vais pas me faire des amis, mais il est évident qu’elle était donnée en bout de table par le généraliste », déplore-t-il dans cet entretien.
[...] Cliquez pour voir la vidéo
Date : 04/10/2012
Le docteur Courtois explique les hypothèses qui ralentissent les indemnisations.
Le docteur Dominique-Michel Courtois confirme : sur les quelque 500 dossiers que son association, l'Avim (Association d'aide aux victimes du Mediator et de l'Isoméride), a présentés à l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux, 80 % ont été rejetés.
Selon M. Courtois, les dossiers ont été rejetés parce que les experts « contestent le lien entre la prise du Mediator et la pathologie valvulaire ». Ce médicament des laboratoires Servier destiné aux diabétiques en surpoids a été largement détourné comme coupe-faim durant sa commercialisation, de 1976 à 2009. Il est soupçonné d'avoir provoqué la mort d'au moins 500 personnes en trente ans, voire 1 300 à 2 000 selon d'autres estimations.
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Date : 06/01/2012
Le centre régional de lutte contre le cancer, à Bordeaux, était approvisionné par PIP. Des prothèses ont déjà été retirées à 40 malades, 50 autres le seront bientôt.
C'est presque une affaire dans l'affaire. Ou une sorte de double peine funeste pour environ 6 000 femmes au sujet desquelles on découvre que, soignées pour un cancer du sein, elles se sont retrouvées, au terme d'une chirurgie réparatrice, avec des implants mammaires venus de chez PIP.
En effet, comme l'a révélé « Le Figaro » hier sur son site, les centres de lutte contre le cancer de France ont bien utilisé des prothèses mammaires fournies par le fabricant varois PIP, aujourd'hui liquidé et au coeur d'un scandale planétaire. Président de la Fédération nationale des centres de lutte contre le cancer (FNCLCC) et directeur général de l'institut Bergonié de Bordeaux (centre régional de lutte contre le cancer), le professeur Josy Reiffers nous a confirmé l'information dès hier après-midi.
Le chirurgien Christian Marinetti, président d'une clinique marseillaise de chirurgie esthétique, a affirmé hier avoir alerté par courriel dès 2008 l'Agence des produits de santé (Afssaps) après avoir constaté un taux anormal de ruptures des prothèses mammaires PIP.
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Date : 03/01/2012
La polémique sur la toxicité des implants mammaires défectueux enfle encore. PIP dément la présence de composants industriels, les victimes réclament des analyses.
Sur les ondes de RTL, hier, de nouvelles révélations au sujet de la composition du gel des prothèses mammaires PIP ont encore accru la tension chez les victimes de l'entreprise varoise, au coeur d'un vaste scandale sanitaire depuis quelques jours. Les implants incriminés contiendraient un mélange de produits commandés à de grands groupes de chimie industrielle, notamment un additif pour carburants, le Baysilone, ainsi que le Silopren et le Rhodorsil, utilisés dans l'industrie du caoutchouc.
Des informations dénuées de sens, selon l'avocat de Jean-Claude Mas, fondateur de PIP, qui a rencontré hier des représentants de l'Afssaps et pourrait s'exprimer pour la première fois cette semaine. Et le conseil de décliner la composition d'un gel constitué « de produits alimentaires, utilisés dans la composition des produits de beauté, achetés auprès de Rhône-Poulenc et de ses concurrents ».
« D'après l'Afssaps, on savait qu'il s'agissait d'un gel impropre, utilisé dans l'alimentaire et l'informatique », indiquait de son côté le médecin-conseil d'une association de porteuses d'implants PIP, Dominique-Michel Courtois.
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Date : 02/01/2012
L'avocat de PIP dément la présence d'un additif pour carburant dans les implants. Mais du côté des plaignantes, on demande de nouvelles analyses.
Les prothèses mammaires PIP, qui se trouvent au coeur d'un vaste scandale sanitaire, contiennent-elles, comme l’a affirmé, ce lundi matin RTL, un additif pour carburant ?
Si cette révélation a provoqué la stupeur et fait monter la pression d’un cran chez les patientes, l'avocat de Jean-Claude Mas, le fondateur de PIP, a démenti la présence de composants industriels.
Ces révélations « n'ont pas de sens », a-t-il dit. « Il s'agit de produits alimentaires, utilisés dans la composition des produits de beauté, achetés auprès de Rhône-Poulenc et de ses concurrents ».
Mais selon RTL, les prothèses de l'entreprise varoise Poly Implant Prothèse (PIP) contenaient un mélange de produits commandés à de grands groupes de chimie industrielle, sans que leur éventuelle nocivité ait fait l'objet de tests cliniques.
Et parmi ces produits montrés du doigt figureraient donc un additif pour carburants, le Baysilone, ainsi que le Silopren et le Rhodorsil, utilisés dans l'industrie du caoutchouc.
[...]
Date : 31/12/2011
Le fondateur de PIP est consultant pour une société créée par ses enfants.
« Il n'y a pas un jour où on ne découvre pas quelque chose de grave dans ce dossier. » Me Philippe Courtois, avocat bordelais de femmes porteuses de prothèses mammaires de marque PIP (Poly Implant Prothèse), ne décolère pas. Dans son édition d'hier, le quotidien « Nice-Matin » révèle en effet l'existence d'une société, France Implant Technologie (FIT), créée en juin dernier par ... les enfants de Jean-Claude Mas, fondateur de PIP et concepteur de ses prothèses mammaires défectueuses.
FIT est « une société de fabrication de matériel médico-chirurgical et dentaire », selon des documents enregistrés au tribunal de commerce de Toulon. En clair, des prothèses mammaires, mais aussi des prothèses de mollets, de fesses, et des produits dentaires.
Vingt cas de cancers ont été déclarés à l'Agence des produits de santé chez des femmes porteuses de prothèses mammaires fabriquées par la société PIP qui a également commercialisé plusieurs dizaines de milliers de ces implants à l'étranger, directement ou via des intermédiaires.
[...]
Date : 29/11/2011
À Noël 2009, Guy Martin perdait son épouse. Elle prenait du Mediator. Aujourd'hui, le retraité de Saint-Yzans attend le procès des laboratoires Servier.
Lorsque Guy Martin, 75 ans, évoque la mémoire de son épouse Pierrette, l'émotion ne tarde pas à le gagner. Sur la table de la salle à manger, la photo de leur mariage figure en bonne place. À côté, une pile de dossiers et de nombreux articles sur le Mediator dominent.
« On a passé cinquante ans ensemble. Aujourd'hui, sans elle, ce n'est pas facile tous les jours. Les souvenirs reviennent en permanence. Et la solitude vous ronge. Je n'ai plus peur de la mort. Il me tarde seulement de la retrouver », dit-il avec une voix tremblante.
À la Noël 2009, « elle était bien, se souvient Guy Martin. Nous avons déjeuné chez ma fille ». C'est en rentrant de Saint-Vivien que Pierrette se plaint d'étouffement. Dans la nuit, elle se lève, s'installe dans un fauteuil, bien couverte. « Mais très vite, elle arrache sa couverture. "J'étouffe, se plaint-elle. Appelle le 15". » Les secours ne pourront la ranimer. [...] « C'est quand j'ai vu la première fois à la télé, la photo de la boîte de Mediator que j'ai commencé à faire le lien avec le décès de mon épouse. »
[...]
Date : 25/11/2011
Dénonçant une erreur médicale, Christian Le Baudour veut épuiser toutes les voies de recours.
Le 17 juin 2006, Tifany Le Baudour, âgée de 12 ans, décède à l'hôpital Pellegrin à Bordeaux. La fillette venait de se faire opérer d'une malformation veineuse à une cuisse. Une intervention « banale » qui a tourné au drame.
En mai dernier, la juge d'instruction bordelaise chargée du dossier a classé le dossier sans suite en prononçant un non-lieu. L'erreur médicale n'a pas été reconnue, au grand dam des parents de Tifany qui vivent à Tocane et se battent depuis cinq ans et demi pour faire reconnaître la responsabilité du chirurgien et de l'hôpital. Ils ont fait appel de cette ordonnance de non-lieu et leur recours sera examiné ce matin par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Bordeaux. « On ne se fait plus trop d'illusions », soupire le papa, CRS de profession, et décidé d'aller jusqu'au bout.
Soutenu par Dominique Courtois, président de l'Avaac, l'Association d'aide aux victimes d'accidents corporels et erreurs médicales, Christian Le Baudour se dit déterminé à épuiser toutes les voies de recours. Ils estiment ne pas avoir été assez informés des risques encourus. Pour réduire la malformation veineuse qui se voyait à l'oeil nu, le chirurgien a opté pour une sclérose à l'éthanol.
[...]
Date : 25/11/2011
Le débat autour des prothèses PIP est relancé par la mort d'une femme de 53 ans.
Edwige Ligoneche est morte à 53 ans. « D'un lymphome avec antécédents de complication sur prothèse mammaire », précise le communiqué de l'institut Paoli-Calmettes de Marseille.
D'après l'avocat de sa famille, Me Philippe Courtois, qui est aussi celui d'autres porteuses de prothèses fabriquées par Poly-Implant Protheses (PIP), « la lettre de son cancérologue dit clairement que le lymphome s'est développé au contact de la prothèse qu'elle portait ». L'avocat estime : « Nous sommes face à un scandale sanitaire qui pourrait toucher nombre de femmes porteuses de prothèses PIP en France et ailleurs, car une grande partie de la production de la société, un temps troisième fabricant mondial, a été exportée, notamment au Royaume-Uni et en Espagne. »
« C'est un problème de santé publique sans précédent concernant du matériel implantable sur l'être humain », tempête de son côté le docteur Dominique Courtois, président de l'Association d'aide aux victimes d'accidents corporels (Aavac). « Et ce d'autant que, cet été, l'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (afssaps) nous a assuré que les analyses étaient rassurantes », fulmine celui qui se bat aussi pour les victimes de l'Isoméride et du Mediator.
[...]
Date : 07/09/2011
Alors que les scandales sanitaires se succèdent, où en est l'indemnisation des victimes d'affaires précédentes ? Enquête sur les suites de la contamination par le virus de l'hépatite C.
Ironie du sort, Martin(1) est ambulancier. Pour parler de sa maladie, il se cache. Ses collègues ignorent tout. L'hépatite C est toujours taboue. Les faits remontent pourtant à 1983, bientôt trente ans. Une transfusion sanguine comme tant d'autres. En 1985, on détecte le VIH dans son sang. Quelques mois plus tard, les assurances prennent les devants : 100 000 francs (15 000 euros) contre l'engagement de ne pas mener d'action en responsabilité. Une paille en comparaison des sommes allouées par le Fonds d'indemnisation des transfusés et hémophiles contaminés par le VIH (le FITH), mis en place quelques années plus tard et dont les prestations ont pu se monter jusqu'à 300 000 euros.
Martin signe. Et se tait. Puis en 1993, alors que les premiers tests fiables sont opérationnels, l'hôpital Necker diagnostique une hépatite C. Martin se soigne. Souffre à cause du traitement. Et se tait toujours. « Je pensais que le document qui avait été signé m'interdisait toute démarche pour l'hépatite C. Et puis, cette maladie, on n'en parlait jamais », explique-t-il.
C'est peu dire que les pouvoirs publics n'ont pas fait de zèle pour encourager Martin et des milliers d'autres victimes de l'hépatite C à se faire indemniser. Pourtant, les spécialistes s'accordent sur un chiffre particulièrement impressionnant : près de 600 000 personnes en France seraient porteurs du virus de l'hépatite C. Dont 40 % auraient été contaminés lors d'une transfusion, selon les estimations les plus hautes des associations de victimes. Autrement dit, l'autre versant du scandale du sang contaminé pourrait avoisiner les 200 000 victimes. À titre de comparaison, le FITH, qui a indemnisé la plupart des victimes du VIH post-transfusionnel, recense 5 000 dossiers depuis sa création.
[...]
Date : 07/09/2011
L'accusation de tromperie n'apporte toutefois rien de plus à un dossier pipé dès le début.
« On enfonce des portes ouvertes. » Le docteur bordelais Dominique Courtois, président de l'Association de défense des victimes de l'Isoméride et du Mediator (Avim), n'est pas surpris par les révélations du professeur Jean Charpentier dans « Libération » et « Le Figaro » d'hier. Mais il fait remarquer qu'il n'y a rien de très nouveau dans ce que disent ces deux scientifiques qui ont travaillé pour le laboratoire.
Ainsi Jacques Duhaut, pharmacien retraité et ancien directeur du laboratoire diabète et obésité chez Servier, reconnaît que le Mediator était bien un coupe-faim. Et le professeur Charpentier, neurochirurgien et neuropsychiatre qui avait rédigé l'étude destinée à obtenir l'autorisation de mise sur le marché (AMM), a expliqué aux juges que c'est dans cette optique que le laboratoire avait expurgé les passages montrant les liens entre amphétamine et Mediator.
« Depuis le début, souligne Bernard Bégaud, professeur de pharmacologie à l'université de Bordeaux, je répète que le Mediator n'est pas une affaire de pharmacologie, mais d'AMM. » Intervenant en mars dernier dans nos colonnes sur le rapport Debré-Even, il assurait : « Le dysfonctionnement concernant le Mediator ne vient pas d'un défaut de la pharmacologie. C'est un problème de mise sur le marché. On a reconnu une indication thérapeutique à ce médicament en matière de lutte contre le diabète, alors qu'il ne l'avait pas prouvée. Et on l'a maintenue. D'ailleurs en juin 2009, l'autorisation a été délivrée à ses génériques. »
[...]
Date : 16/07/2011
Une patiente du Rhône voit son cas de valvulopathie imputable au médicament des laboratoires Servier
« Nous en avons parlé lors de la dernière réunion avec Xavier Bertrand. » Le docteur Dominique Courtois, président de l'Avim(1), qui bataille depuis le début pour soutenir les victimes de l'Isoméride et du Mediator, reconnaît que le rapport d'expertise dû à quatre médecins - le professeur Jean-Marc Rouzioux (toxicologue), Jean-François Obadia (chirurgien cardiaque), Paul Touboul (cardiologue) et Bruno Mazenod (endocrinologue) - fera effectivement date.
Cette première expertise, rendue par une Commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI), établit clairement qu'une valvulopathie est liée à la prise du Mediator. Elle concerne une patiente prédiabétique de 64 ans qui habite la région lyonnaise et a saisi en février 2010 la CRCI du Rhône. Elle estime en effet avoir pris de septembre 2006 à janvier 2010 un comprimé, puis deux, puis trois de Mediator par jour, sur prescription de son endocrinologue. Et avoir fait constater la présence d'un souffle au cœur, puis, après une échographie, une fuite de la valve aortique.
Son cas ressemble à celui de 90 % des patients qui ont consommé du Mediator. En septembre prochain, cette patiente demandera en référé aux laboratoires Servier 20 000 euros au titre du préjudice corporel et 100 000 pour préjudice d'anxiété.
[...]
Date : 18/06/2011
Cinq ans après le décès de Tifany, sa famille dénonce encore l'« erreur médicale ». Elle est soutenue par la fille de Jacques Chirac.
Émotion hier après-midi au cimetière de Tocane-Saint-Apre, cinq ans jour pour jour après la disparition, le 17 juin 2006, à l'hôpital Pellegrin à Bordeaux, de Tifany Le Baudour, 12 ans, lors d'une opération chirurgicale réputée « anodine », pour une malformation vasculaire à une cuisse.
Autour des parents et des plus proches amis de la fillette portant son portrait, le village faisait bloc à travers sa vie associative : poney-club en selle, marcheurs et boulistes évoquaient les attaches de Tifany et de sa famille. Mais on était évidemment frappé de la présence de nombreux policiers de la CRS 22 de Périgueux, celle de Christian Le Baudour, le père de Tifany, un « ch'ti » descendu dans le Sud.
[...]
Date : 26/05/2011
Xavier Armandola a reçu mardi le dossier médical complet. Le combat est loin d'être terminé.
L'ultimatum devait expirer dans neuf jours. Après quoi Xavier Armandola prévoyait d'entamer une grève de la faim, seul recours pour crier son exaspération. Le 29 mars 2010, son nourrisson de cinq semaines, Charly, décédait au CHIC de Marmande dans des circonstances qu'il estime « troublantes ». Depuis, Xavier Armandola se bat pour récupérer le dossier médical complet durant la prise en charge du bébé, ainsi que celui de l'autopsie.
Hier, le père de famille a tenu une conférence de presse à son domicile de Miramont, épaulé par le docteur Dominique Courtois, président de l'Association d'aide aux victimes d'accidents corporels, (AAVAC) et de son avocat, Jean-Christophe Coubris, dans le but d'annoncer qu'il avait enfin reçu le dossier médical complet de la part du CHIC. Reste donc celui de l'autopsie. Le projet d'entamer une grève de la faim est de surcroît annulé.
Pourtant, Me Jean-Christophe Coubris avoue que beaucoup d'incohérences ont été relevées. « Il est écrit que le pédiatre est intervenu dans les quinze minutes qui suivent l'arrivée de Charly au centre hospitalier. Pourtant, d'après Xavier Armandola, il a fallu attendre 45 minutes avant que le nourrisson ne soit examiné. La description est bien différente de la réalité. » Des zones d'ombre persistent. Pourquoi a-t-il fallu attendre autant de temps ? Le docteur Courtois, également animateur d'une émission médicale sur RTL, ajoute avoir pris contact avec l'équipe dirigeante de l'hôpital à l'antenne. Cette dernière lui aurait alors répondu avoir perdu le dossier. « Et comme par miracle, mardi, Xavier Armandola est contacté pour aller le récupérer ... »
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Date : 19/05/2011
Charly, mort au CHIC de Marmande en 2010, aurait eu un germe dans ses poumons.
Le 3 mai, Xavier Armandola lançait un ultimatum à Xavier Bertrand, ministre de la Santé : si dans un mois, soit le 3 juin, il n'a pas récupéré le dossier médical complet et les résultats de l'autopsie de son fils Charly, décédé à l'âge de cinq semaines à l'hôpital de Marmande l'an dernier, il entamera une grève de la faim.
Depuis, le père de famille miramontais sollicite l'aide de toute part, raconte son histoire aux médias. « Parce qu'on a besoin de tout savoir. Parce que Charly a une sœur jumelle qu'on ne voudrait pas voir partir aussi soudainement. De quoi notre enfant est mort ? » s'énervait, hier encore, Xavier Armandola.
Un début de réponse lui a pourtant été apporté par le procureur d'Agen. « Suite à l'article dans le journal (notre édition du 28 avril), nous avons été reçus le 10 mai. Le procureur disposait de tout le dossier de notre fils et des résultats de l'autopsie. Mais, n'ayant pas d'avocat, il n'a pas voulu nous le remettre. Alors il nous l'a lu. On a découvert que notre fils aurait eu un germe dans les poumons. Mais quel germe ? On doit savoir, pour notre petite Maëlie ! »
La famille Armandola aimerait pouvoir confier ce dossier à un expert médical, pour comprendre ce qu'il s'est passé pendant les cinq dernières heures de la vie de Charly, passées à l'hôpital.
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Date : 10/03/2011
Le laboratoire Servier s'est dit prêt mercredi à indemniser des victimes du Mediator exclues des procédures légales d'indemnisation à condition qu'elles renoncent à toute action judiciaire. Les réactions indignées se succèdent
Le laboratoire Servier s'est dit prêt mercredi à indemniser des victimes du Mediator exclues des procédures légales d'indemnisation à condition qu'elles renoncent à toute action judiciaire, une proposition qui a « scandalisé » l'UFC-Que Choisir.
Réaffirmant qu'il assumerait « toute (sa) responsabilité » dans le cadre des procédures d'indemnisation rapides mises en place par la loi Kouchner en 2002, le groupe s'est également dit prêt à mettre en place un fonds complémentaire pour les victimes qui seraient exclues de ces procédures légales.
Seraient concernées les victimes dont le préjudice est antérieur au vote de la loi, ou celles dont l'incapacité partielle permanente est inférieure à 24%.
« Par dérogation au droit commun et par souci d'équité, ce fonds complémentaire indemnisera les patients, même lorsque le Mediator leur a été prescrit en dehors des indications prévues dans l'Autorisation de mise sur le marché », ajoute même Servier.
« Ce fonds assurera le versement d'une indemnisation adaptée à chaque situation individuelle et laissera une place aux experts des associations de patients », poursuit le groupe.
Mais bénéficier de ce fonds se ferait à une condition: le renoncement à toute action judiciaire, une proposition qui fait bondir l'association de consommateurs UFC-Que Choisir.
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Date : 12/01/2011
116 plaintes pour homicides et blessures involontaires ont été déposées mardi au tribunal de Paris. Le quotidien Le Télégramme affirme que les laboratoires Servier ont minimisé les risques encourus
Le scandale de santé publique sur le médicament Mediator a franchi mardi une nouvelle étape avec le dépôt à Paris de 116 plaintes pour homicides et blessures involontaires, laissant présager le choix de la voie judiciaire plutôt qu'un règlement amiable par les victimes.
10 plaintes ont été déposées pour homicide involontaire et 106 pour blessures involontaires par le président de l'association des victimes de l'Isoméride et du Mediator (Avim), Dominique-Michel Courtois, accompagné d'une dizaine de victimes présumées au tribunal de Grande Instance de Paris.
« Des centaines d'autres plaintes sont en préparation. Il s'agira de milliers de plaintes », a déclaré l'avocat de l'association bordelaise, Jean-Christophe Coubris. Une première plainte contre le Mediator avait été déposée fin novembre à Nanterre avant que le Parquet de Paris soit saisi. D'autres associations devraient se joindre à cette démarche. UFC-Que Choisir a ainsi annoncé une plainte contre X à Paris « avant jeudi ».
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Date : 09/01/2011
Les défenseurs des victimes parlent de « victoire ». Les plaintes contre le laboratoire Servier se multiplient.
La justice a ouvert une enquête sur l'affaire du Mediator du laboratoire Servier, un médicament accusé d'avoir entraîné la mort de plusieurs centaines de patients, une avancée saluée par leurs défenseurs comme « une première victoire pour les victimes ».
L'enquête a été ouverte en décembre « avant les premières plaintes » à Paris par le parquet de Paris, « à la suite des révélations parues dans la presse » à propos du Mediator, selon une source judiciaire. Elle a été confiée aux gendarmes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp).
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Date : 05/01/2011
Cent plaintes vont être déposées auprès du Pôle de santé publique du tribunal de grande instance de Paris pour blessures involontaires et dix pour homicides involontaires
Une association bordelaise de victimes présumées du Médiator va déposer mardi 110 plaintes pour blessures et homicides involontaires contre le laboratoire Servier, dont le médicament aurait entraîné de graves problèmes cardiaques chez les patients, a-t-elle annoncé mercredi.
Cent plaintes vont être déposées auprès du Pôle de santé publique du tribunal de grande instance de Paris pour blessures involontaires et dix pour homicides involontaires, a indiqué Dominique-Michel Courtois, le président de l'association des victimes de l'Isoméride et du Médiator (AVIM).
Cinq cents nouvelles plaintes, en cours de finalisation, seront déposés « avant la fin du mois » de janvier, a-t-il ajouté, indiquant que les plaignants étaient répartis « dans toute la France ».
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Date : 20/11/2010
« En trois jours, prés de 15 000 personnes ont consultés les sites des Associations A.V.I.M. et A.A.V.A.C. pour s'informer sur le Médiator et l’Isoméride »
« Tout d’abord, permettez-moi, en mon nom personnel et au nom de toute notre équipe, de vous remercier très sincèrement de votre prise de contact auprès de notre Association qui représente une marque de confiance et un encouragement pour toutes les personnes bénévoles qui nous aident.
Nous répondrons à chacun de vos mails, en prenant en compte vos demandes de conseils, d’adhésions à l’association, d’aide à la constitution du dossier et de démarches judiciaires à l’encontre des Laboratoires Servier.
Cependant, compte tenu de notre grande expérience en matière de dommages induits par la prise de médicaments, il convient de ne pas brûler les étapes, comme le proposent certains avocats, dans certains journaux.
Avant d’engager une procédure contre les Laboratoires Servier, il est impératif de commencer par préparer soigneusement votre dossier médical que nous ferons ensuite étudier par un de nos médecins spécialistes en réparation du dommage corporel.
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Date : 17/11/2010
Pourquoi les pouvoirs publics et les autorités sanitaires ont-ils réagi si tardivement devant des effets largement dénoncés ?
Trente-quatre ans après, il voit arriver des dossiers avec la même pathologie : hypertension artérielle pulmonaire et déformation des valvules cardiaques.
Le docteur bordelais Dominique Courtois, fondateur de l'Aavac (Association d'aide aux victimes d'accidents corporels), relevait hier matin que les quelque 200 dossiers que son association a récoltés faisaient état des mêmes constats que ceux qui lui furent envoyés à l'époque concernant l'Isoméride.
Le fabricant - le laboratoire Servier - est le même.
Ce médicament prescrit aux diabétiques en surcharge pondérable a été commercialisé pendant trente-trois ans en France.
Retiré de la vente au mois de novembre 2009, il était encore pris par plus de 300 000 patients.
Pourtant, depuis 2005, la revue indépendante « Prescrire » avait alerté le corps médical sur les dangers du médicament.
L'un des animateurs de la publication, Pierre Chirac, explique qu'ils avaient aussi consulté des publications internationales, qui évoquaient les mêmes effets indésirables.
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Date : 14/10/2010
Une étude confidentielle de la C.N.A.M. ( Caisse Nationale de l’Assurance Maladie ) concernant le MEDIATOR des Laboratoires SERVIER, médicament réservé à l’origine aux diabétiques en surcharge pondérale, puis prescrit aux patients désireux de perdre du poids, ferait état de 500 à 1000 décès en lien direct avec la prise de ce médicament.
Le MEDIATOR est accusé d’avoir des effets secondaires particulièrement graves en favorisant la survenue de maladies des valves cardiaques et l’hypertension artérielle pulmonaire. Ces complications surviennent après la prise de MEDIATOR pendant quelques mois.
Cependant, de nombreux patients ont pris ce médicament pendant des années car le MEDIATOR est commercialisé depuis 33 ans et son retrait sur le marché ne date que de novembre 2009. Les chiffres de l’étude de la C.N.A.M. sont comparables à ceux indiqués dans la thèse de doctorat d’état de Docteur en pharmacie soutenue par Flore MICHELET à l’université de Rennes, il y a quelques mois.
Le Docteur Irène FRACHON, pneumologue au C.H.U. de Brest, avait publié un livre, en juin dernier, mettant en évidence les risques du MEDIATOR.
Il semble que la C.N.A.M. interrogée par de nombreux journalistes, conteste avoir précisé, dans son étude, que le nombre de décès suite à la prise de MEDIATOR pouvait atteindre le chiffre de 500 à 1000 morts.
Pour le Docteur D.M. COURTOIS, compte tenu des complications cardiovasculaires incontestables engendrées par ce médicament, il est recommandé à toute personne ayant pris du MEDIATOR de consulter son médecin généraliste et un cardiologue afin de diagnostiquer précocement une éventuelle complication.
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Date : 29/09/2010
L'affaire des implants mammaires PIP, qui a été révélée il y a tout juste six mois, s'est imposée comme un dossier hors normes de par l'ampleur de la fraude et ses conséquences sur des milliers de femmes.
Au lendemain même de nouvelles recommandations émises par l'Agence des produits de santé, la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a annoncé mercredi une extension de la prise en charge des interventions visant à retirer les prothèses défectueuses.
« Ce dossier est totalement hors normes par rapport à ce qu'on a l'habitude de traiter », à savoir des "écarts involontaires de qualité », a souligné le directeur général de l'Afssaps, Jean Marimbert.
« C'est une affaire hors normes en raison du nombre de victimes et de l'extraordinaire fraude à grande échelle pérennisée pendant des années par PIP », a renchéri de son côté le Dr Dominique Courtois, expert auprès de l'Association de défense des Porteuses de prothèses PIP (PPP).
L'Afssaps avait soulevé le pot aux roses en suspendant, le 29 mars dernier, l'utilisation des prothèses mammaires à base de gel de silicone fabriquées par la société varoise Poly Implant Prothèse. Des inspecteurs dépêchés sur le site avaient repéré des fûts de matière première suspects et recueilli des confidences de salariés.
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Médecin expert de l'émission « Ca peut vous arriver » de Julien COURBET, de 9 heures 30 à 11 heures 30, le Docteur COURTOIS vient en aide à toutes les victimes d'accidents corporels ( erreurs médicales, accidents de la route, accidents de la vie… ) qui rencontrent des difficultés de toute sorte.
Des contacts, parfois musclés, sont établis avec les hôpitaux, les cliniques ou les médecins ( problèmes de récupération de dossiers médicaux, de déclarations aux assurances…) les assurances ( problèmes de perte de dossiers, d'indemnisation en particulier ) et les différents organismes de santé ( refus de prise en charge, retard de versement des prestations ...) afin d'aider les victimes à faire reconnaître leur droit.
Le Docteur COURTOIS donne aussi des conseils pratiques ( comment obtenir son dossier médical, comment saisir la C.R.C.I., que faire en cas de suspicion d'erreur médicale…) et dialogue avec les auditeurs.
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Pendant de nombreuses années, le Docteur Dominique COURTOIS, médecin consultant de l’émission, est intervenu, le vendredi soir, pour défendre les victimes d’accidents corporels.
De très nombreux cas mettant en cause les assurances, les établissements hospitaliers, les organismes de santé, les médecins ont ainsi pu être résolus.
Les victimes ont pu obtenir une juste indemnisation de leurs préjudices et retrouver leur dignité avec la reconnaissance de leur statut de victime.
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Date : 15/07/2010
Une cinquantaine de femmes portant des prothèses mammaires PIP défectueuses veulent être indemnisées.
Le docteur Dominique Michel Courtois, président de l'association l'AAVAC (Association d’aide aux victimes d’accidents corporels) parle du plus gros scandale sanitaire touchant des prothèses en France. Un millier de plaintes ont déjà été déposées par des femmes portant des implants mammaires Poly implant. Elle veulent maintenant être indemnisées et vont se rendre devant le ministère de la Santé jeudi matin.
En cause : la qualité du gel de silicone contenu dans ces faux seins PIP. Le fabricant visé par une enquête pour fraude en aurait modifié la composition, mettant ainsi sur le marché des produits non conforme à la législation. Ils se déchirent plus facilement car le silicone semble attaquer l’enveloppe de la prothèse.
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Date : 07/06/2010
Des pneumologues du C.H.U. de Brest ont démontré la dangerosité du MEDIATOR et obtenu la suspension de mise sur le marché
Le MEDIATOR, médicament à base de Chlorhydrate de Benfluorex, fabriqué par les Laboratoires SERVIER, a été interdit par l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé ( AFSSAPS ) le 30 novembre 2009.
Plus de 2 millions de patients ont pris ce médicament depuis 1976 et quand le MEDIATOR a été retiré du marché, 300 000 personnes étaient toujours sous traitement.
Le MEDIATOR, prescrit comme adjuvant d'un régime adapté dans les hypertriglycéridémies ou dans le diabète asymptomatique avec surcharge pondérale, était en fait un médicament destiné à faire perdre du poids.
Malheureusement, il semble que ce médicament présente des effets secondaires graves, en particulier la survenue de maladies des valves cardiaques et de l'hypertension artérielle pulmonaire et peut être de décès.
Des pneumologues du C.H.U. de Brest, après des études parfaitement documentées, ont démontré la dangerosité du MEDIATOR et obtenu de l'AFSSAPS la suspension de mise sur le marché du médicament incriminé.
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Date : 07/06/2010
En France, 30 000 patientes auraient bénéficié de la mise en place d'une prothèse PIP qui s'avère défectueuse. L'association d'aide aux victimes se mobilise.
La mobilisation sera forte, jeudi prochain, sur les marches du palais de justice de Marseille (1). L'avocat bordelais Me Philippe Courtois devrait être accompagné de nombreuses plaignantes parmi les 514 d'ores et déjà recensées et qui entendent demander réparation après s'être fait poser une prothèse mammaire de la société Poly Implants Prothèses (PIP) non conforme à la réglementation en vigueur.
Au cours de ces derniers mois, les incidents de rupture prématurée de l'enveloppe de l'implant se sont multipliés. Les patientes concernées ont ressenti des brûlures, des démangeaisons et certaines ont vu apparaître des rougeurs et même constaté une modification de la forme des seins.
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Date : 06/04/2010
Le 30 mars 2010, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé ( AFSSAPS ) a exigé le retrait des implants mammaires contenant un gel de silicone fabriqués par la société Poly Implant Prothèse ( P.I.P. ) ainsi que la suppression de la mise sur le marché et de l’utilisation de ces produits.
Le Dr COURTOIS traitera du problème des victimes des implants P.I.P. dans l'émission « ÇA PEUT VOUS ARRIVER » avec Julien COURBET, sur RTL, le mercredi 14 avril prochain, de 9h30 à 11h30.
En effet, une augmentation importante du nombre de ruptures de l’enveloppe des implants mammaires de la marque P.I.P. avait été signalée, entrainant alors l’obligation d’une intervention chirurgicale pour changer les prothèses et traiter la dispersion de la silicone.
Plus grave encore, il semblerait que le gel de silicone utilisé par la société Poly Implant Prothèse soit différent de celui déclaré au moment de la mise sur le marché des implants et surtout qu’il ne soit pas autorisé par les autorités sanitaires françaises.
Actuellement, on estime à environ 500 000 le nombre de patientes portant des implants mammaires et environ 30 000 de ces femmes auraient été implantées avec des prothèses P.I.P. remplies de gel de silicone.
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Date : 09/03/2010
LA FAMILLE DEMANDE LE SOUTIEN ET L'INTERVENTION DE L'A.A.V.A.C.
La famille de l'enfant décédé, prénommé Théo, conteste la version de l'hôpital et a déposé une plainte pénale pour homicide involontaire auprès du Procureur du T.G.I. de Tarbes, le 5 février, par l'intermédiaire de leur avocat, Maître Philippe COURTOIS.
Souhaitant dénoncer les manquements graves du C.H. de TARBES, les parents de Théo ont demandé qu'une conférence de presse soit organisée, en présence de leur avocat, Maître Philippe COURTOIS et du Docteur Dominique Michel COURTOIS, Président de l'association l'A.A.V.A.C.
Au cours de la Conférence de Presse, organisée le jeudi 4 mars 2010, à Tarbes, le père de Théo et les grands-parents ont vivement critiqué la prise en charge de l'enfant dans le service de Pédiatrie, dans la nuit du 26 janvier 2010.
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On estime à 450 000 le nombre d'accidents médicaux chaque année en France, dont 10 000 avec décès du patient. Le documentaire « Peur sur l'hôpital » nous plonge dans la vie brisée de plusieurs victimes et retrace leur combat pour obtenir réparation.
En vingt ans, le nombre de réclamations devant la justice pour erreur médicale a été multiplié par quatre. Désormais, les Français n'hésitent plus à attaquer les médecins et les hôpitaux. Un changement approuvé par le Dr Dominique Michel Courtois, président de l'Association d'aide aux victimes d'accidents corporels : « Les gens ont compris que ce n'était plus la lutte du pot de terre contre le pot de fer. J'ai créé l'association il y a vingt ans pour aider les victimes dans leurs démarches. Des médecins experts étudient les cas afin de savoir si le dossier tient la route pour entamer une action en justice ».
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Date : 18/01/2010
La victime, Charlotte Gueguen est décédée il y a 3 ans des suites d'un cancer du sein qui n'avait pas été détecté.
La cour d'appel de Caen a en effet rejetté le pourvoi en cassation, ce qui met un terme à six ans de procès.
La justice a finalement retenu les fautes des médecins qui ont suivi Charlotte Gueguen. Si le radiologue est condamné à 6 mois de prison avec sursis, le généraliste écope quant à lui de 18 mois avec sursis et se voit interdire d'exercer la médecine pendant 5 mois.
La "perte de chance de survie"
La Cour de Cassation, dans un arrêt rendu le 13 mars 2007, a reconnu qu'une jeune victime décédée à la suite d'une erreur médicale devait être indemnisée au titre de « la perte de chance de n'avoir pas vécu plus longtemps ». Depuis, c'est une notion régulièrement plaidée par les avocats dans ce type d'affaire, souligne l'association d'aide aux victimes d'accidents de la vie (AAVAC).
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Date : 05/01/2010
Un chirurgien a été mis en examen pour avoir "involontairement causé la mort" d'un jeune de 16 ans, admis le 21 septembre 2008 aux urgences d'un hôpital strasbourgeois, après une chute lors d'un entraînement cycliste.
Ce médecin d'astreinte à l'hôpital au CHU de Strasbourg-Hautepierre avait mis sept heures avant de se rendre au chevet du jeune Maxime Walter.
Spécialiste de la conservation de la rate, il avait refusé de procéder à son ablation et ordonné des transfusions massives. « Maxime a reçu 50 poches de sang, à raison d'une toutes les 20 minutes, tandis que son état se dégradait rapidement », avait indiqué sa mère à la presse après que les parents eurent porté plainte contre le médecin pour « homicide involontaire ».
L'adolescent souffrait d'une soif intense, de terribles douleurs abdominales et vomissait du sang, selon sa mère. Tombé dans le coma le lundi, il était mort le mardi 23.
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Date : 12/11/2009
Dans un arrêt en date du 9 juillet 2009, la première chambre civile de la Cour de Cassation confirme, pour la première fois, la condamnation d’un laboratoire fabriquant un vaccin anti-hépatite B à indemniser une victime de sclérose en plaques.
En effet, par un arrêt du 9 juillet 2009, la Cour de Cassation admet que « soit condamné un laboratoire fabricant un vaccin anti-hépatite B, à indemniser les dommages consécutifs à une poussée de sclérose en plaques apparue chez un patient deux mois après l’injection du produit ».
Cette même chambre avait admis dans les arrêts du 22 mai 2008 « la preuve de l’imputabilité de la sclérose en plaques au vaccin anti-hépatite B, ainsi que le caractère défectueux de ce produit, par des présomptions suffisamment graves, précises et concordantes ».
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Date : 06/10/2009
Jean-Paul Delevoye, médiateur de la République, proposera bientôt une réforme sur l'expertise médicale.
Conflits d'intérêt, honoraires à la carte, partialité manifeste : les experts médicaux sont aujourd'hui dans le collimateur du médiateur de la République, Jean-Paul Delevoye.
Depuis longtemps, le Docteur Dominique COURTOIS dénonce l'attitude des experts médicaux aux cours des réunions d'expertise et le manque de transparence au sein de cette profession.
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Date : 27/09/2009
Chaque semaine, le journaliste va défendre les lecteurs de TV Magazine dans Sans aucun doute
La célèbre émission de TF1 Sans aucun doute et TV Magazine s'unissent pour mieux répondre aux attentes des lecteurs et des téléspectateurs. Conseils, astuces, bonnes adresses... Tous les outils pour savoir défendre ses droits.
Comment aiderez-vous chaque semaine les lecteurs de TV Magazine ?
Christophe Moulin : Premier avantage, ils pourront disposer d'une équipe compétente : avocats spécialisés et spécialistes en matière de santé, construction, nouvelles technologies... Vos lecteurs bénéficieront également de l'ensemble de notre rédaction qui est là pour les écouter et les aider, en les accompagnant de A à Z dans la résolution de leur problème. Si cela est possible, nous aimerions pouvoir résoudre un cas précis chaque semaine.
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Date : 10/06/2009
Depuis de nombreuses années, l'A.A.V.A.C demande de modifier certaines clauses permettant l'accès aux C.R.C.I. à savoir :
La requête de l'A.A.V.A.C. semble avoir été prise en compte et des modifications pourraient intervenir prochainement.
Il ne s'agit en fait que d'une réflexion du Médiateur de la République sur une possible diminution dans la mesure où il apparaît que les C.R.C.I. ne sont pas autant sollicitées que le prévoyait le gouvernement.
[...]
Date : 12/03/2009
Création d'un Fonds d'Indemnisation pour les victimes d'hépatite post transfusionnelle.
[...]
Date : 09/03/2009
En 2007, pour la première fois en France, un de nos avocats spécialisé dans la défense des victimes d'accidents corporels et d'erreurs médicales, a obtenu la reconnaissance de la perte de chance de survie.
[...]
Date : 14/01/2009
Entre affaires tragiques et effets d'annonce, le point sur les erreurs médicales en France...
[...]
Date : 12/01/2009
Le nombre de décès accidentels représente le double de celui des tués sur la route. Le médecin Dominique Courtois tire la sonnette d'alarme.
[...]
Date : 01/10/2008
Retrouvez tous les vendredis le Docteur COURTOIS, médecin consultant pour la nouvelle version de l'émission "SANS AUCUN DOUTE" désormais présentée par Christophe Moulin, à partir de 23h30 sur TF1.
[...]
Date : 11/06/2008
Obtention du premier rapport d'expertise médicale civile
[...]
Date : 11/06/2008
[...]
Date : 07/05/2008
La défense des victimes assumée par des Bordelais
[...]
Date : 03/05/2008
Le Docteur Courtois (président de l'AAVAC) conseille les victimes d'erreurs médicales dans un article de Télé Star.
Etape préliminaire obligatoire
Le dossier médical
[...]
Date : 11/04/2008
La Revue Expert, a sollicité l'avis du Docteur D.M. COURTOIS sur les experts et les pratiques de l'expertise dans le domaine médical, en raison de sa grande expérience d'assistance auprès des victimes.
[...]
Date : 15/02/2008
Plus d'une dizaine de personnes ont développé des abcès, ont subi des traitements chirurgicaux longs et sont maintenant mutilées par de nombreuses cicatrices.
[...]
Date : 12/01/2008
BRUGES (GIRONDE) - Alain Francart devait subir une intervention banale et il est mort à la clinique. Une enquête a été ouverte.
[...]
[...]
Date : 24/05/2007
« Certains hôpitaux font de la rétention d'information. »
[...]
Date : 11/04/2007
Président de la première association française d'aide aux victimes d'erreurs médicales, le médecin girondin Dominique Courtois publie un guide de conseils.
[...]
Date : 01/03/2007
LE GUIDE STOP AUX ARNAQUES "Spécial Santé"
[...]
Date : 17/10/2006
La famille d'une victime décédée conteste formellement la version officielle donnée par l'Agence Régionale d'Hospitalisation et engage une procédure pénale.
[...]
Date : 18/07/2006
Après le décès de Sonia DUMONT suite à une erreur de dosage de radiothérapie aux Hospices Civils de LYON, l'A.A.V.A.C. intervient à nouveau pour la mort mystérieuse de Tifany au C.H.U. de BORDEAUX.
Les parents de Tifany LE BAUDOUR demandent en effet à l'A.A.V.A.C. de les conseiller et de les aider dans toutes leurs démarches pour connaître la vérité sur les causes du décès de leur fille de 12 ans.
[...]
Date : 16/05/2006
Interview du Docteur COURTOIS, président de l'association d'aide aux victimes d'erreurs médicales A.A.V.A.C.
[...]
Date : 22/04/2006
La famille conteste la version de l'hôpital et porte plainte. Au cours d'une Conférence de Presse organisée le 21 avril 2006, le père de la victime, Monsieur DARAI Jean Marc, a transmis une déclaration indiquant les différents points contestés par la famille.
[...]
Retrouvez tous les vendredis le Docteur COURTOIS, médecin consultant pour l'émission de Julien COURBET "SANS AUCUN DOUTE", à partir de 23h10 sur TF1.
De même, le Docteur Dominique COURTOIS intervient dans d'autres émissions animées par Julien COURBET pour tenter de vous conseiller face à des problèmes médicaux.
Retrouvez le Docteur COURTOIS, médecin consultant pour l'émission de Julien COURBET "CA PEUT VOUS ARRIVER", le lundi à partir de 10h30 sur RTL.
Le Docteur Dominique COURTOIS, médecin consultant de l'équipe de "ÇA PEUT VOUS ARRIVER" animée par Julien COURBET tente de résoudre les problèmes, en particulier d'indemnisation, rencontrées par les victimes d'accidents corporels. Problèmes de conclusions de rapports d'expertises médicales, contestations d'évaluation des préjudices au cours des expertises, de proposition d'indemnisation financière, de partage des responsabilités ... tous les sujets sont abordés pour trouver une solution, toujours dans l'intérêt des victimes.
Le Docteur Dominique Michel COURTOIS intervient comme médecin consultant dans le Magazine STOP ARNAQUES, magazine mensuel, qui vous apprend à vous défendre et vous donne des conseils dans de nombreux domaines.
Vous trouverez ainsi l'avis du Docteur COURTOIS sur des problèmes d'erreurs médicales et des conseils pour vous éviter de connaître une situation semblable.
Vous trouverez aussi des précisions sur les modalités d'indemnisation si vous êtes victime d'une erreur médicale ou d'une hépatite post transfusionnelle.
Date : 29/12/2004
Rappel des faits et derniers éléments
Date : 25/10/2004
Erreur médicale : Chirurgie, Vendredi 29 octobre à partir de 23h10
Date : 02/07/2004
Erreur médicale : Chirurgie esthétique, Vendredi 09 Juillet à partir de 23h10
Date : 01/11/2003
Témoignage d'une adhérente victime d'une ERREUR MEDICALE, Vendredi 07 Novembre à partir de 23h10
Date : 07/03/2003
Débat sur les ERREURS MEDICALES, lundi 10 mars à partir de 22h45
Date : 18/07/2002
Une Conférence de Presse organisée par l'A.A.V.A.C. s'est tenue le jeudi 18 juillet, à BORDEAUX, en présence de nombreux médias.
L'A.A.V.A.C. se félicite des conclusions des 3 experts et va continuer à assister Monsieur LASTECOUERES avec l'aide de l'avocat de l'A.A.V.A.C., Maître Jean Christophe COUBRIS, dans la démarche amiable ou judiciaire auprès du C.H.U. de BORDEAUX pour obtenir l'indemnisation des différents préjudices.
Date : 10/04/2002
L'émission présentée par Géraldine CARRE était consacrée aux ERREURS MEDICALES.
La majorité des témoignages concerne des adhérents de l'A.A.V.A.C. dont le Docteur COURTOIS est le Président.
Date : 10/04/2002
Le Docteur COURTOIS (Président de l'A.A.V.A.C.) participait à l'émission de Julien COURBET, « CA PEUT VOUS ARRIVER » dont le sujet était consacré aux ERREURS MEDICALES sur RTL le lundi 4 mars de 10h30 à 12h30.
Le Docteur COURTOIS répondait aux questions des auditeurs.